Le Fort de Saint-Héribert pose des actes pour protéger l’environnement et utiliser ce que la nature nous donne sans en abuser
Par exemple nous n’utilisons aucun herbicide pour entretenir les 11 ha du fort. Les parties visiteurs et parking sont tondues deux fois par mois pendant la belle saison et tout le restant reste à l’état sauvage. Cependant afin de ne pa perdre le travail effectué par mon père, les chemins de l’orée du bois sont débroussaillés une à deux fois par an afin que les ronces et autres plantes n’envahissent pas à nouveau les chemins.
Les arbres morts sont laissés au sol pour les insectes, les rongeurs, les oiseaux, etc. et les arbres qui sont potentiellement dangereux et qui doivent être coupé, sont eux utilisé pour faire des bancs, des tabourets ou des tables tout au long du parcours de la visite ou sont parfois vendu.
Les pommes de pin servent à allumer le barbecue et/ou sont misent dans les parterres pour retenir la fraicheur du sol.
Nous utilisons des gobelets en plastique recyclés que nous réutilisons à chaque ouverture.
Nos bracelets que vous recevez lors du paiement de votre entrée, est en plastique recyclé et est réutilisé après chaque fête après un bon lavage.
Le groupe électrogène est utilisé uniquement avec parcimonie. Nous avons pour projet d’installer des panneaux solaire afin d’éviter de consommer du mazout et de limiter la nuisance sonore.
Nous utilisons l’eau de pluie pour de nombreux travaux de nettoyage, d’arrosage ou pour le lavabo au WC.
Lorsque nous avons l’occasion, nous allons chercher nos pommes de terre, salades, tomates chez des producteurs locaux, nos fraises, notre jus de pomme et nos tartes dans les boulangerie proche du fort. Nous faisons éditer nos livres à Bois-de Villers. Nous avons des partenariats avec le musée de la Fraise et la Province de Namur par exemple.
Nous récupérons des expositions qui ont déjà étés installées ailleurs et nous vous les présentons, comme par exemple l’expo La libération de Wépion faite par le Musée de la Fraise est exposé chez nous au fort.
L’expo mes parents ne me disaient pas tout réalisée par la province de Namur vous a été également présentée, comme celle sur l’armement, les zeppelins, etc.
Alors le fait d’utiliser des expos qui ont déjà étés imprimées par d’autres services sur du plastique, du dibond ou autres matériaux empêche des doublons, nous économisons donc des matériaux mais aussi de l’argent. Nous évitons de la pollution. Nous sommes d’aileurs constament à la recherche d’expos qui pourraient s’intégrer dans nos site historique et naturel. Je pense a toutes ces magnifiques photos exposées a Namur en septembre…
Nous voulons favoriser autant que soit peu, l’économie circulaire.
Nous soutenons également les associations locales comme la confrérie de la Gribousine en vendant leur bières lors de nos ouvertures. Nous avons inviter des enfants du SAJ et pensons encore à bien d’autres associations…
Chaque jour, une nouvelle idée naît mais il nous faut le temps, les moyens physiques et parfois financier.